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  • : Le blog d'une fanficeuse
  • : Hello! Bienvenue dans le monde d'une rêveuse tapant sur son petit clavier d'ordi pendant ses temps-libres des fanfictions en tout genre! Action, romance, humour, suspens... il y en a pour tous les goûts! Bonne visite et surtout bonne lecture! :D
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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 18:15

Hello les jeunes! Voici une histoire que j'ai écrite il y a moins de 2 ans pour un concours d'écriture. Je n'ai pas pu me lâcher à fond dans le scénario que j'avais prévu vu que le nombre de page était limité à 5! J'espère tout de même que vous allez apprécier! ^^ Bonne lecture!

 


 

 

La nuit tous les chats sont gris.

Il faisait froid ce soir-là. Le ciel était dégagé, mais l'atmosphère était lourde et humide.

Un homme sortait d'un bar. Personne ne pouvait distinguer son visage caché par le col de sa veste. Il était passé minuit et les seules sources de lumière étaient les rares maisons encore allumées et la lune brillant parmi les étoiles.

L'homme entendit soudain des pas hâtifs derrière lui. C'était sûr, quelqu'un le poursuivait.

Par réflexe, il courut malgré lui, la tête lui tournait. Il ne se rendait pas du tout compte de ce qu'il faisait quand un coup de feu résonna. Quelqu'un regarda par la fenêtre, alerté par le bruit mais… il était trop tard. Elle ne vit qu’un chat au pelage argenté miaulant sous la pleine lune.

Le meurtrier prit la fuite et se cogna contre un poteau avant de jeter une allumette dans une poubelle abandonnée.

De gros nuages apparurent dans le ciel et la pluie tomba à grosses gouttes, à la désolation du meurtrier….

Le lendemain, dans tout Louvain-la-Neuve, la nouvelle s'était répandue comme une trainée de poudre, ainsi que chez Monsieur le Détective Privé.

- Un homme assassiné tout près de chez moi, ça me met froid dans le dos! Je n'ai même pas entendu de coup de feu! Pourtant, la femme de la victime affirme bien en avoir entendu cette nuit. Mais elle n'a rien vu.

Grégory Laborieux posa sa tasse de café sur le journal et jeta un regard distrait sur l'article: "Meurtre inattendu à Louvain-la-Neuve".

Son assistante semblait affolée.

- Je ne peux pas le croire! D'habitude, c'est calme dans cette ville! On doit toujours aller à Bruxelles ou à Namur et parfois à Charleroi pour résoudre des affaires de meurtre. Enfin, il fallait bien que ça arrive mais, tout près de chez moi et je n'ai rien pu faire….ça me dégoûte!

- Du calme voyons très chère… que ce soit à Louvain-la-Neuve, à Bruxelles ou dans un petit village, cela reste un meurtre et les meurtres peuvent se produire n'importe où.

- Vous me dégoûtez Grégory! Vous sentez l'alcool…

- Je ne me souviens pas du tout d'avoir consommer ce genre de boisson Alicia…

- Arrêtez de faire l'innocent! Je sais bien que vous oubliez toujours quand vous êtes devenu ivre! Vous avez encore fait la fête et….et un MEURTRE a été commis pendant que vous trinquiez avec vos mauvaises fréquentations! Un jour, l'alcool vous perdra!

Le téléphone sonna, interrompant la colère d'Alicia. Elle décrocha, regardant du mauvais œil le pauvre M. Laborieux. Elle ne semblait pas surprise et hochait la tête plutôt lassée. Elle marmonna un "oui, on arrive, ne vous inquiétez pas, oui, au revoir…" Elle raccrocha avec une certaine violence.

- C'était la femme de la victime n'est-ce pas?

- Comment avez-vous deviné? Déclara l'assistante avec un sourire ironique.

- Bon, allons-y! soupira le détective en se levant péniblement.

L'épais brouillard ne rendait pas les choses plus faciles. Le lieu du crime se situait juste en face de la maison de la victime. L'heure du crime était estimée à environ 3 heures du matin.

Le commissaire Lazare était déjà en action. Il examinait difficilement les lieux, observant chaque recoin à la loupe.

- Quel idiot, on dirait un chien qui cherche un os! S'exclama Alicia Barons.

Grégory observa la victime. Il sursauta.

- Tiens? Mais… c'est…

Le détective reconnut le corps: c'était une de ses connaissances: Arthur Misérable. Il avait fait ses études avec lui et était même logé dans le dortoir voisin au sien.

- Quel malheur, un type pareil qui se fait assassiner…

- Vous le connaissiez?

- A peu près, il était à la même fac que moi, et a fait les mêmes études. Je le trouvais plutôt sympathique au premier abord mais par contre, lui, il ne me portait pas dans son cœur!

- Comment ça?

- Il était jaloux de ma réussite et de la réussite de Sébastien Delarue, qui a aussi fait les mêmes études que moi!

Le commissaire n'avait même pas remarqué que le détective était arrivé et piqua une petite crise en le voyant.

- Que faites-vous là! On ne vous a pas appelé à ce que je sache!

- Si. Murmura une voix de femme.

C'était Laurence Courtoisie, l'épouse du défunt.

- Je voulais être sûr que l'on retrouve l'assassin de mon mari. Oh, mais, c'est juste, je vous connais monsieur le détective, vous êtes…hum…

- Grégory Laborieux, détective privé. On s’est vu à votre mariage! Arthur avait invité toutes ses connaissances de la fac!

- Oh oui! Je me rappelle! Je me suis toujours demandée pourquoi il vous avait invité, vous et votre ami, Sébastien Delarue!

Mme Courtoisie expliqua  Alicia qu’Arthur Misérable avait toujours rêvé d’être détective. En apprenant le succès de Grégory, il ressentait une profonde jalousie. Et comme il était rancunier, sa femme savait bien qu’il n’avait pas oublié. Grégory coupa la discussion.

- Au fait, pourquoi avoir appelé la police alors que vous nous aviez appelés?

- Ils sont venus tout seul! Affirma Mme Courtoisie.

- Ah, je vois, ça ne m'étonne pas du tout d'eux. Soupira-t-il.

Grégory questionna Mme Courtoisie plus en détail.

- Madame, vous dites que ça s'est passé à 3 heures du matin?

- Oui, j'en suis certaine M. Laborieux, j'ai entendu un coup de feu et…

- Un seul?

- Oui. Je croyais avoir fait un cauchemar, j’ai regardé l’heure et je me suis rendormie.

- Est-ce que vous avez un alibi par hasard?

- Vous pensez que j'ai tué mon mari? Je sais que c'est votre travail mais… je nie totalement! Pourquoi aurais-je appelé un aussi brillant détective pour mener l'enquête, même si c'était un leurre, vous découvririez l'assassin, qu'il soit dans les suspects ou pas!

- C'est vrai… merci de vos compliments madame. Est-ce que vous savez qui aurait eu l'intention de le tuer? Ses contacts?

La pauvre femme se gratta la tête et leva celle-ci, regardant dans le vide. D'après elle, il n'avait pas beaucoup d'amis. Il ne fréquentait personne ces derniers temps.

-         Hum… pas à ma connaissance, il était plutôt isolé.

Le détective observa alors une connaissance.

Un homme de taille moyenne, sortait d'un café et semblait plutôt indifférent à l'agitation. Ses cheveux étaient châtain clair, avait des yeux légèrement bridés en amande et semblait élégant dans sa démarche. Il ressemblait à Grégory en tout point, mis à part qu'il ne portait pas de lunettes.

-         Votre clone Monsieur le détective! ricana Alicia en le pointant du doigt.

Apparemment, le mystérieux personnage se sentait visé et tentait de partir au plus vite. Mais le détective Laborieux l'interrompit dans sa fuite.

-         Oh, quelle coïncidence, Monsieur Sébastien Delarue!

Tous se retournèrent. Delarue fit une mine surprise un peu exagérée au goût d'Alicia.

-         Oh, Grégory Laborieux, comme on se retrouve! Et Laurence, vous êtes toujours aussi splendide!

-         L'heure n'est pas aux retrouvailles!, répliqua sèchement Grégory en regardant Mme Courtoisie du coin de l'œil, un crime a été commis et il se trouve que vous la connaissiez, cher ami!

Sébastien se pencha vers le corps puis soupira.

-         Que voulez-vous! Il a été tué et puis, je m'en fiche un peu vous savez…

Mme Courtoisie détourna la tête pour cacher ses larmes et son dégoût.

-         Je vais le tuer ce type! Murmura Alicia en serrant les poings.

-         Du calme très chère!

-         Du calme? DU CALME? Vous voulez que je vous dise, ce type est indifférent! Aucune expression, ni surprise, ni dégoût, ne s'exprime sur son visage! RIEN! Juste un air de je-m'en-foutiste et même presque arrogant! Il n'est pas pour rien dans cette affaire!

-         Vous ne pouvez fonder une hypothèse que par mon visage, pauvre sotte! Je n'aurais jamais eu l'intention de tuer cette espèce de … d'ordure!

-         Hem… toussota Grégory, vous y allez un peu fort! Vous vous contredisez vous-même! Si vous n'aviez aucune intention de le tuer, pourquoi le traiter d'ordure?

Delarue ne trouvait rien à dire pour sa défense. Il jeta un œil sur Laurence Courtoisie, en sanglots.

-         Et il ose faire pleurer une pauvre femme qui se passera de l'homme qu'elle aimait toute sa vie? Ha! Je suis certaine, vous êtes impliqué.

-         Allez-y, jetez-moi en prison! Et le meurtrier restera en liberté.

Alicia détourna la tête et observa quelques secondes le corps. Elle semblait remarquer quelque chose dont elle fit part au détective. Celui-ci hocha la tête, convaincu, observé par le commissaire, perplexe.

-         Bon, Madame Courtoisie…

-         Un instant! Interrompit le commissaire Lazare, vous ne me dites rien?

-         Vous n'avez qu'à regarder par vous-même cher commissaire!

Il empoigna sa loupe et se mit la recherche d'indices avec acharnement.

-  Pendant qu'il s'obstine à chercher, pouvez vous me dire madame où avez-vous vu votre mari en dernier lieu?

-  A la maison. Il est parti vers 18 heures dans un bar. Et puis, je ne l'ai plus vu. Je n'ai pas osé me faire de soucis, en entendant ce coup de feu…je peux vous conduire au bar, si vous voulez!

 

Laurence Courtoisie s'apprêtait à s'en aller quand Alicia hurla:

-         Vous! Le type louche! Venez avec nous!

-         Pourquoi cela?

-         Vous faites partie des suspects, enfin, vous êtes le seul suspect si je ne m'abuse!

 

Ce fut le regard autoritaire de Grégory qui fit céder le pauvre homme. Il se contenta de suivre le détective, surveillé par Alicia.

Ils arrivèrent au bar en silence. L'ambiance y était lourde, encore plus qu'à l'extérieur. Des odeurs de bières, des rires graves de quelques clients ivres, une chaleur étouffante.

Le détective repensa à son passé, et en fit part à son assistante.

-         Sébastien et moi, on était amis à l'époque…

Alicia semblait paralysée par cette révélation. Une pourriture comme Sébastien, ami avec Grégory durant sa jeunesse? Elle fronça les sourcils et allait répliquer quelque chose mais Grégory était plus rapide.

-         Il était vraiment adorable, très généreux et cultivé. Il avait un grand succès auprès des filles.

-         Cet horrible personnage?

-         Il n'a pas toujours été comme ça. Mais, quand Arthur lui a piqué sa petite amie, il est entré dans une de ces colères…

Grégory observa Madame Courtoisie.

-         Quoi…ne me dites pas que….

-         Si. Il était amoureux de Laurence Courtoisie. N'as-tu pas remarqué qu'il se souvenait admirablement de son prénom après tant d'années?

L'assistante réfléchit un instant. Sébastien avait un mobile. Elle ne savait toujours pas où il était à l'heure du crime.

-         Alors cher barman, est-ce que cet homme est venu ici hier soir? Questionna-t-il en montrant Sébastien qui discutait avec des connaissances.

Il fouilla dans ses souvenirs.

-         Je pense, oui. Chuchota-t-il.

-         Et Arthur Misérable?

-         Hum, il est arrivé plus tôt que lui et est reparti plus tôt, en effet…mais ils ne se sont pas remarqués apparemment, ce monsieur était ivre d’après moi.

Grégory se gratta la tête. Quelque chose clochait.

Le serveur proposa qu'ils restent un peu. Mais personne ne buvait d’alcool, mis à part le détective.

-  Bon, je vais quand même vous donner un tuyau. J'ai vu, enfin je crois, de la fumée dans ce bidon qui sert de poubelle là-bas au coin de la rue. Je croyais que je délirais. Avant ça, j'avais entendu un drôle de bruit, je croyais que c'était des jeunes qui s'amusaient mais je vois maintenant au journal que c'était un véritable coup de feu! Ca ne me rassure pas du tout…

-  Merci l'ami, vous nous êtes d'une grande aide.

La petite troupe se rendit près du bidon. Le feu n'avait pas brûlé tous les détritus.

-         Ca devrait s'expliquer par le fait qu'il ait plu hier soir peu après 3 heures du matin… enfin, je pense.

-         Celui qui a fait ça voulait brûler l'arme du crime.

-         Quelle arme? Et puis, un pistolet, ça ne se brûle pas comme ça!

Le détective réfléchit longuement.

-         Et si… et si ce n'est pas ce coup de feu qui a tué la victime? Même si la police n'a pas encore examiné le corps, je n'ai vu aucune trace…

-         Mais alors…comment a-t-il été tué? S'étonna Mme Courtoisie

-         Par étranglement.

-         Hein?

-         Oui…le meurtrier a jeté ses gants dans la poubelle et les a brûlé. Mais la pluie a éteint l'incendie, à mon avis, ça ne l'avantage pas, regardez!

Grégory trouva un bout de laine.

Des gants en laine, ça brûle plus facilement que des gants en cuir! Apparemment, l'homme était conscient de ses actes. Mais c'était tout de même imprudent de brûler ses gants dans la rue! Vous n’avez pas remarqué que votre mari avait de grosses marques rouges au niveau du cou et de la nuque ?

-         Et le pistolet? S’interrogea Mme Courtoisie.

-         Je l'ai découvert en dessous de la victime. Pendant que le commissaire ne regardait pas, j'ai pris la peine de relever les empreintes….et ce sont SES empreintes, à la victime!

Mme Courtoisie avait une intense envie de vomir. Son mari, armé? Elle n'arrivait pas à l'imaginer.

Alicia réfléchit longuement.

- Alors Monsieur le Détective, j'ai établi l'hypothèse suivante: Le meurtrier était en danger de mort et a étranglé sa victime pour se protéger. Ensuite, comme il était ivre car il venait du bar, il a mit inconsciemment ses gants dans une poubelle et y lança une allumette. Mais la pluie éteignit la flamme et un bout de laine resta intact. Conclusion : Sébastien est le meurtrier !

Sébastien était parti du bar après Arthur Misérable. Il vit Arthur devant lui et s'apprêtait à l'étrangler. Arthur se préparait à tirer mais son manque d'oxygène le fit lâcher prise au moment où il appuyait sur le détenteur. C'était le coup de feu. Il rata complètement son tir et s'écroula sur le trottoir asphyxié. Sébastien jeta ses gants dans la poubelle et y lança une allumette. Mais à son grand désarroi, la pluie commença à tomber et il s'enfuit. En plus, Sébastien avait un mobile: il était jaloux de sa femme.

Mais quelque chose n'allait pas dans cette affaire. Alicia repensa à tout…puis eut une illumination. Elle regarda dans le vide en se murmurant que c'était malheureusement possible.

-         Grégory, je sais qui a tué… il s'en allait et Arthur a tiré et a raté son coup. Puis, le "meurtrier" l'a étranglé et vous devinez la suite. C'était de la légitime défense. Devinez qui a tué…

Grégory afficha soudain un visage pâle.

-         Hum, le serveur avait du boire un verre de trop. Sébastien n'aime pas l'alcool, il n'a pas accepté la proposition du serveur, ce qui ne l'étonnait guère. Il n'est pas venu dans ce bar.

-         Mais alors, qui?

-         C'est Arthur qui voulait tuer. L'homme qui a tué votre mari madame, ne voulait que se défendre, même s'il n'avait pas toute sa raison. Il ressemblait presque à Sébastien, et le serveur n'y a pas prêté attention mais comme on dit "la nuit, tous les chats sont gris" n’est-ce pas ? Et qui est-ce que votre mari aurait l'intention de tuer? La jalousie est capable de bien des choses vous savez.

Tous se tournèrent vers le détective.

- Je vous l'avais dit Grégory, que l'alcool vous perdrait un jour…quelqu'un comme vous n'aurait jamais fait une telle bêtise…s'il était sobre.

 


Alors, avez-vous deviné qui était le meurtrier? Il n'y avait pas beaucoup de suspects en même temps xD

Sachez qu'avec ce texte j'ai eu 22 sur 30 en français mais que pour le concours, des gens ont lu le texte et ma côte a été de... 81%! Oh YEAH! >< (mais pour gagner fallait 85% T_T) dommage! Mais je suis contente de mon score quand même! ^^

Je pense réecrire avec le même scénario une histoire pareille mais avec plus de suspect. Mais j'ai quand même posté la première version! ^^ En espérant que vous ayez aimé!

Bisouilles et à bientôt! ♪

Lichan

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commentaires

C
<br /> <br /> Les références aux villes, enfin aux lieux, aux détails sont très important si tu veux rendre ton texto, ton histoire plus réaliste. Et ok pour les dialogues, n'empêche ça va bien pour<br /> ton histoire.<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> <br /> Coucou tite miss =) J'ai aimé ta petite histoire. Elle est vraiment sympathique et il faut comprendre tout les éléments pour pouvoir deviner le meurtrier : le détective =) Quand j'y repense<br /> maintenant, c'est vrai qu'il y a des petites connotations au meurtre...<br /> Sinon, petit conseil : y a trop de dialogue xD Enfin je trouve et le dialogue tue l'histoire !! Même si c'est dans une histoire courte, même si c'est dans le genre : policier !!! Il faut de la<br /> narration =) et éviter le dialogue. Je ne dis pas qu'il ne faut pas en mettre, je dis juste qu'il faut le limiter : le mettre au bon moment =)<br /> Mais hormis ça, j'ai adoré le scénario, le fait que ce soir réaliste avec le nom des rues, des personnages etc... Plus de descriptions peut-être la prochaine fois ? Ce serait bien à exploiter<br /> ;p<br /> <br /> Voilà miss de ce que je pense, vivement les autres
Répondre
P
<br /> <br /> Merciii de ton com! =D En effet, y a beaucoup trop de dialogues... Le problème dans tout ça est que si je mettais des descriptions, je t'assure, ça aurait fait plus de 5 pages et plus de<br /> je-sais-plus combien de caractères (5 pages c'est vraiment rien du tout tu sais, pour moi! o_o) Franchement, ça m'a un peu frustrée cette limite... Mais il est vrai, il y a trop de dialogue. Je<br /> ferai attention pour mes fics à venir (même si je fais déjà attention, moi-même n'aimant pas les fics à dialogues xD)<br /> <br /> <br /> Ah aussi, pour les noms de ville, tu trouves ça cool? Tant mieux, en fait c'est pas mon idée, c'était imposé par le concours, je devais mettre une référence belge x) <br /> <br /> <br /> <br />